Je ne suis pas à Paris, mais les réactions que tu évoques sont les mêmes ici, assez souvent parfois... Quoique, par certains aspects, la vie est moins "sauvage" dans mon petit coin qu'à Paname...
Je ne dirais qu'une chose, à la limite : toi, tu es restée humaine et chaleureuse... Les autres sont devenus non pas inhumains, j'irais pas jusqu'à dire ça, mais ils sont devenus des étrangers dans leur propre ville et dans leur propre vie... parce que la vie, ça ne s'arrête pas qu'au petit monde que l'on connait, y'a les autres, aussi...
Mais ça, beaucoup l'ont oublié...
à 00:25